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Träfflista för sökning "WFRF:(Kronning Hans 1953 ) "

Sökning: WFRF:(Kronning Hans 1953 )

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NumreringReferensOmslagsbildHitta
1.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Att översätta Proust till germanska och romanska språk : titel, incipit och excipit
  • 2017
  • Ingår i: Språkens magi. - Göteborg : Institutionen för språk och litteraturer, Göteborgs universitet. - 9789163953613 - 9789198445107 ; , s. 117-129
  • Bokkapitel (refereegranskat)abstract
    • Att översätta är en komplex verksamhet, särskilt om man söker att till andra språk och kulturer överföra magin i ett av världslitteraturens stora verk som Marcel Prousts roman À la recherche du temps perdu. Några aspekter av denna komplexitet – som käll- och målspråksinriktad översättning i förhållande till språksystemskillnader, till ”nyöversättningshypotesen” och till universella översättningstendenser – undersöks i denna artikel med exempel från olika översättningar till sju germanska och fem romanska språk av titeln på Prousts roman, av romanens incipit (första mening) och av dess excipit (sista mening). Romanens yttre, paratextuella (titel) och inre, intratextuella (incipit, excipit) ”trösklar” har valts för att de bildar en enhetlig struktur hos Proust, nära knuten till verkets övergripande litterära betydelse som en roman om den förlorade och återfunna tiden. Hur de olika översättarna återskapat koherensen i detta integrerade system av ”trösklar” skärskådas också.
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2.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Conditionnalité et expressivité : Aspects sémantiques et variationnels. Perspectives romanes
  • 2019
  • Konferensbidrag (refereegranskat)abstract
    • Parmi la pléthore des constructions conditionnelles prédictives (« hypothétiques ») en français, un certain nombre renferment, – qu’elles soient hypotaxiques (1) ou parataxiques (2-4) –, un imparfait de l’indicatif (Impf Ind) contrefactuel marqué, qui – à la différence de l’emploi contrefactuel non marqué de cette forme verbale (5) – a été qualifié d’« expressif » par les grammairiens du XIXe et de la première moitié du XXe siècles :(1)   Si j’avais craqué une allumette, la maison sautait. (Émission télévisuelle comique)(2)   Vous auriez invité la Molé que tout était raté. (Dialogue romanesque, Proust)(3)   Un peu plus, on avait une morte sur les bras. (Dialogue filmique)(4)   Deux points de moins et Gina échouait à son examen.(5)   Si j’étais riche, je l’épouserais.De nos jours, la plupart des linguistes passent cette expressivité sous silence, et ceux qui la reconnaissent (Bres 2006) s’abstiennent généralement de l’étudier (Berthonneau & Kleiber 2006), considérant la notion d’expressivité comme trop « intuitive ».Selon Bally (1926 : 141), « le langage affectif, ou expressif » ne s’assimile pas à « tout fait de langage associé à une émotion », mais est le fait des « signes expressifs … incorporés dans le système de la langue ».Nous émettrons l’hypothèse que l’Impf Ind contrefactuel marqué est un tel signe expressif. Ce signe indique une mise en relief, qui est donc expressive, ne s’assimilant ni à la rhématisation ni à la focalisation, de nature prédicative ou informationnelle (cf. Trotzke 2017). Plus précisément, l’émotivité mise en relief est associée à la valeur axiologique (von Wright 1963), typiquement mais non exclusivement négative, de l’apodose (q) : la maison sautait (1), tout était raté (2), on avait une morte sur les bras (3), Gina échouait à son examen (4). Si l’on remplace l’imparfait contrefactuel dans (1-4) par le conditionnel composé (aurait sauté), la valeur axiologique de q restera la même, mais cette valeur ne fera pas l’objet d’une mise en relief expressive.L’expressivité de l’Impf Ind contrefactuel procède de plusieurs propriétés sémantiques de ce signe. D’une part, les temps verbaux des constructions conditionnelles « toncales » (morphèmes flexionnels en –/r/ait) portent, selon notre hypothèse (cf. Gosselin 1999, Caudal 2011, Ippolito 2013), non sur les procès p et q, mais sur les opérateurs modaux (‘il était possible que’, etc.) et gardent leurs significations aspectuo-temporelles « standard ». D’autre part, l’Impf Ind expressif est employé dans un contexte d’où il ressort que la possibilité de q (et/ou de p) a été annulée avant un point de référence TR (« contrefactualité fermée »), emploi qui est en discordance avec la signification conceptuelle de l’imparfait comme temps du passé imperfectif dénotant, dans les constructions contrefactuelles, une inhibition temporaire de la possibilité de p dans l’univers actuel (« contrefactualité non fermée ») (cf. (5)). Cette discordance entre ce qui relève de la signification conceptuelle de l’Impf Ind expressif – la contrefactualité non fermée – et ce qui, par sa signification instructionnelle, est inféré contextuellement – la contrefactualité fermée – exige un effort de traitement cognitif supplémentaire qui a pour effet la mise en relief expressive de la valeur axiologique de q et/ou de p.Nous examinerons la variation diaphasique de cet emploi expressif de l’imparfait de l’indicatif à la lumière des « conditions de communication » qui définissent la « proximité » et la « distance » communicatives (Koch & Oesterreicher 2007), les séquences et genres discursifs (autrement dits « traditions discursives ») s’inscrivant sur le continuum qui s’établit entre ces deux pôles.Vu que la communication de « proximité » se caractérise par une forte émotionnalité (Koch & Oesterreicher 2007), on pourrait faire l’hypothèse que l’Impf Ind expressif apparaîtrait presque exclusivement dans ce type de communication. Or, en français, cet emploi de l’imparfait, n’est pas, comme on le pense souvent (cf. Sandfeld 1965), réservé au discours conversationnel familier, représentant la « proximité communicative » (1-3), mais figure aussi dans le discours littéraire, historique et scientifique, relevant de la « distance communicative » qui n’est pas étrangère à une certaine émotivité, plutôt sèche et intellectuelle, liée à la valeur axiologique de q (6) :(6)   S’il avait fait un pas de plus dans cette voie, Van Helmont rencontrait une conception juste des corps simples. (Traité de chimie)La variation diaphasique ne dépend pas seulement du sémantisme expressif de l’Impf Ind contrefactuel marqué, mais est également tributaire des constructions qui renferment cette forme verbale. Nous étudierons l’hypothèse syntaxique selon laquelle les constructions hypotaxiques, constituant une « stratégie de verbalisation » qui relèverait de la « distance communicative », défavoriseraient l’emploi de cette forme verbale, alors que les constructions parataxiques, ressortissant à la « proximité communicative », favoriseraient, en revanche, son emploi. Ces tendances sont cependant contrecarrées dans certaines constructions, hypothèse morphologique, par la valeur diaphasique intrinsèque des temps et modes employés dans la protase. En outre, hypothèse sémantique indépendante des hypothèses syntaxique et morphologique, la présence, dans la protase, d’un « quantifieur de la proximité factuelle » (Kronning 2017) – un peu plus (3), deux points de moins (4), un pas de plus (6) –, qui, en augmentant l’expressivité de la construction, privilégie l’emploi de l’Impf Ind contrefactuel marqué.Dans une perspective comparative romane, nous pouvons constater que la construction hypotaxique française du type Si tu avançais, je frappais, amplement illustrée dans la littérature linguistique et grammaticale par des exemples fabriqués (Martinon 1927, Barcelò & Bres 2006) ou mal interprétés (Pedersen et al. 1980) a un statut fort marginal en français, alors que les constructions correspondantes de l’italien – Se lo sapevo, te lo dicevo (Bertinetto 1986) – et de l’espagnol – Se lo pedía, me lo daba (RAE 2009) –, considérées comme fréquentes dans la langue parlée substandard sont presque exclusivement traitées en termes diaphasiques et normatifs sans référence à l’expressivité. À partir de ce constat, nous tenterons d’établir quelques relations de correspondance interlinguistique qui s’avèrent souvent partielles ou asymétriques, car l’empan diaphasique des constructions n’est pas nécessairement le même en français, en italien et en espagnol.
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3.
  • Kronning, Hans, Professor, 1953- (författare)
  • Conditionnalité et expressivité : L’imparfait de l’indicatif contrefactuel en français, en italien et en espagnol. Aspects sémantiques et variationnels.
  • 2021
  • Ingår i: <em>Actes du XXIX<sup>e</sup> Congrès international de linguistique et de philologie romanes (Copenhague, 1-6 juillet 2019)</em>. - Strasbourg : Éditions de Linguistique et de Philologie. - 9782372760539 ; , s. 41-63
  • Bokkapitel (refereegranskat)abstract
    • In this plenary lecture, which focuses on the “expressive” use of the Counterfactual Imperfect Indicative in French, Italian and Spanish, we will make the following hypotheses:(a) The Counterfactual Imperfect Indicative indicates both Open and Closed Counterfactuality.(a) There is a tension between Open Counterfactuality, which is encoded by the Imperfect Indicative by virtue of its imperfectivity, and Closed Counterfactuality, which is contextually inferred.(b) This tension is responsible for highlighting the Possibility Modal Operator(c) This Operator has in its scope the eventuality q (apodosis) and / or p (protasis), endowed with marked negative or positive axiological value.(d) The axiological markedness is associated with strong emotionality.(e) Strong emotionality is characteristic of a particular type of communication: “communicative proximity”.(f) Strong emotionality is also characteristic of a particular “verbalization strategy”: parataxis.Different theoretical and empirical arguments are evoked in favor of these hypotheses. Only the last hypothesis does not seem to hold true.
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4.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Conditionnalité et proximité factuelle
  • 2017
  • Ingår i: Points de vue. - Aarhus : Institut de Communication et de Culture, Université d'Aarhus. - 9788799546732 ; , s. 23-42
  • Bokkapitel (refereegranskat)abstract
    • In this article a previously unidentified dimension of predictive conditionals (traditionally coined as “hypothetical”) is introduced and studied: the quantification of factual proximity. Syntactically, the quantifiers of factual proximity are invariably incorporated into the protasis, whatever its structure, with the exception however of prepositional protases. Semantically, four categories of these quantifiers with different properties are distinguished. Finally, a hypothesis, based on some empirical evidence, is put forward to the effect that there is a positive quantitative relation between these quantifiers and the use of certain tenses.
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5.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Constructions conditionnelles et attitude épistémique en français, en italien et en espagnol
  • 2009
  • Ingår i: Syntaxe & Sémantique. - Caen : Presses universitaires de Caen. - 1623-6742. ; 10, s. 13-32
  • Tidskriftsartikel (refereegranskat)abstract
    • In this paper it is shown that the degree of morphological determination of the speaker’s epistemic attitude towards the protasis and the apodosis of canonical content conditionals is identical in French, Italian and Spanish, whereas when these constructions are reported in (Free) Indirect Speech in the past, the morphological underdetermination of the epistemic attitude varies considerably between the three languages, reaching complete neutralization in Italian.
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6.
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7.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Ducrot et Wittgenstein : le 'dit', le 'montré' et le logos apophantikos
  • 2013
  • Ingår i: La linguistique dans tous les sens. - Stockholm : Kungl. Vitterhets Historie och Antikvitets Akademien. ; , s. 165-177
  • Bokkapitel (refereegranskat)abstract
    • La dichotomie du "montré" et du "dit" occupe une place centrale dans la sémantiquedu linguiste francais Oswald Ducrot, qui, en définissant ces deux notions, fait référence aWittgenstein et à Aristote. Dans cet article, nous essayons de faire voir que la notion demonstration de Ducrot diffère radicalement de celle de Wittgenstein et que le critère queDucrot appelle "aristotelicien" se distingue sensiblement de celui du Stagirite. Pour finir,nous discutons, a la lumière de la pensée de Ducrot, du statut sémiotique du "montré"en avançant quelques arguments en faveur de l’hypothèse selon laquelle la monstrationrelève à la fois du "symptomatique" et du "symbolique".
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8.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Ducrot et Wittgenstein : le 'dit', le 'montré' et le logos apophantikos
  • 2013
  • Ingår i: La linguistique dans tous les sens. - Stockholm : Kungl. Vitterhets Historie och Antikvitets Akademien. ; , s. 165-177
  • Bokkapitel (refereegranskat)abstract
    • La dichotomie du "montré" et du "dit" occupe une place centrale dans la sémantique du linguiste francais Oswald Ducrot, qui, en définissant ces deux notions, fait référence à Wittgenstein et à Aristote. Dans cet article, nous essayons de faire voir que la notion de monstration de Ducrot diffère radicalement de celle de Wittgenstein et que le critère que Ducrot appelle "aristotélicien" se distingue sensiblement de celui du Stagirite. Pour finir, nous discutons, à la lumière de la pensée de Ducrot, du statut sémiotique du "montré" en avancant quelques arguments en faveur de l’hypothèse selon laquelle la monstration relève à la fois du "symptomatique" et du "symbolique".
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9.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • El condicional epistemico «de atribución» en francés, italiano y español: aspectos diafásicos, diatópicos y diacrónicos
  • 2015
  • Ingår i: Les variations diasystématiques et leurs interdépendances dans les langues romanes. - Strasbourg : Éditions de linguistique et de philologie. - 9782372760027 ; , s. 507-518
  • Bokkapitel (refereegranskat)abstract
    • In this article we study the Reportive Conditional (RC) in French (Kadhafi seraitRC malade ‘Gaddafi is reportedly sick’), Italian (Gheddafi sarebbeRC malato) and Spanish (Kadafi estaríaRC enfermo) from a comparative variational perspective, using both unidirectional translation corpora and comparable corpora. The RC seems to be semantically and syntactically fairly equivalent in these languages, whereas peninsular Spanish differs considerably from French, Italian and Latin American Spanish from a diaphasic point of view, which as a result gives rise to a diatopic variation in Spanish. The diaphasic properties of the RC in peninsular Spanish are partly determined by a depreciative, purist and sometimes deontological normative discourse. This purist discourse is sustained by supposed diachronic differences between Spanish and French. Clearly, diaphasic, diatopic and diachronic aspects of variation are interdependent in the case of the Spanish RC.
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11.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Epistemic modality and evidentiality in Romance: the Reportive Conditional : Semantics and variation
  • 2018. - 1
  • Ingår i: Epistemic Modalities and Evidentiality in Cross-Linguistic Perspective. - Berlin : Walter de Gruyter. - 9783110524192 - 9783110572261 - 9783110569889 ; , s. 69-102
  • Bokkapitel (refereegranskat)abstract
    • In this article we study the Reportive Conditional (RC) in Romance, in French (1), Italian (2) and Spanish (3), using both unidirectional translation corpora and comparative corpora:(1) Kadhafi seraitRC malade ‘Gaddafi is reportedly ill’,(2) Gheddafi sarebbeRC malato,(3) Kadafi estariaRC enfermo.The Reportive Conditional (RC) is analysed as a bicategorial epistemic marker denoting reportive evidentiality and zero modalization (the refusal to epistemically endorse the mediated content of the utterance).The arguments for this analysis are in large measure derived from the RC’s discourse properties and functions as shown outside its mediation domain (the sequence conveying the mediated cognitive content), as well as outside and inside discourse frames opened by prepositional phrases of the type Selon X (‘According to X’). It is shown that the speaker’s epistemic attitude is variable (dubitative and non-dubitative), whereas the modal orientation inherent in the epistemic RC is invariably positive (towards ‘true’). It is further shown that this verb form is exploited rhetorically to establish ascending gradations: the epistemic distancing intensifies from a first discourse frame, in the Indicative, to a second one, in the RC.From a comparative point of view and even though the sets of epistemic uses of the Conditional are not identical in the different Romance languages, the Reportive Conditional seems to be semantically fairly equivalent in these languages, whereas the normative attitude towards the Reportive Conditional varies considerably from one language to the other, which entails differences in frequency among the Romance languages and among discourse genres within these languages. More specifically, it is shown that diaphasic (“situational”), diatopic (“geographic”) and diachronic aspects of variation are interdependent in the case of the Spanish RC.
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12.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Évidentialité, rhétorique et ressemblance : on dirait qu’il va pleuvoir / une meute / du Bach
  • 2023
  • Ingår i: Bergen Language and Linguistic Studies. - : Universitetet i Bergen. - 1892-2449. ; 13:1, s. 1-17
  • Tidskriftsartikel (refereegranskat)abstract
    • The French construction On dirait que P/NP has been qualified, in the rare studies that exist, as an “evidential marker” or a “discourse marker”. According to our hypothesis, based on the exploitation of the three corpora that we have established, there are three interpretations of this construction: the “evidential” interpretation (Regarde les nuages ! On dirait qu’il va pleuvoir ‘Look at the clouds! It looks as if it’s going to rain’), the “rhetorical” one (On voit les journalistes qui s’amassent. On dirait une meute ‘You can see the journalists who are gathering. It looks like a pack’) and the “resemblance” interpretation (Écoute ce concerto de Vivaldi ! On dirait du Bach ‘Listen to this concerto by Vivaldi! It sounds like Bach’). These interpretations are subsumed under a single marker that we will define as an “epistemic discourse marker”.
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14.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Il condizionale epistemico di attribuzione in italiano
  • 2013
  • Ingår i: La lingua italiana. Storia, strutture, testi. Rivista internazionale. - Pisa & Roma : Fabrizio Serra Editore. - 1724-9074. ; IX, s. 125-142
  • Tidskriftsartikel (refereegranskat)
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15.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Kerstin Jonasson (1941-2019)
  • 2020
  • Ingår i: Langue française. - : Armand Colin. - 0023-8368 .- 1957-7982. ; 205:1, s. 139-141
  • Tidskriftsartikel (populärvet., debatt m.m.)
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16.
  • Kronning, Hans, Professor, 1953- (författare)
  • Kreativitet och stil : Prousts mening
  • 2023
  • Ingår i: Le repos de la guerrière. - Umeå : Umeå University. - 9789180702447 - 9789180702454 ; , s. 55-70
  • Bokkapitel (övrigt vetenskapligt/konstnärligt)
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17.
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18.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • La quantification de la proximité factuelle dans les constructions conditionnelles potentielles et contrefactuelles
  • 2018
  • Konferensbidrag (refereegranskat)abstract
    • Inspiré des travaux de Berthonneau & Kleiber (2003, 2006) et de Bres (2006, 2009) sur l’emploi de l’imparfait contrefactuel « expressif » après les protases nominales (Un instant après, le train déraillait ≈ ‘aurait déraillé’), Kronning (2017) a « effectué une étude préliminaire, susceptible d’être complétée et précisée » d’une dimension précédemment non identifiée des constructions conditionnelles prédictives (« hypothétiques »), tant potentielles que contrefactuelles, et indépendamment de la forme syntaxique (protase propositionnelle ou non, cf. Corminboeuf 2009) de ces constructions et du temps verbal employé dans l’apodose : la possibilité de quantifier la proximité factuelle. Du point de vue sémantique, nous avons distingué quatre catégories de quantifieurs qui ont des propriétés différentes. La distinction la plus importante est celle entre la quantification processuelle – « scalaire » (/Si tu dis (+ disait)/ un mot de plus, je te tue (+ tuais) ou « non scalaire extrinsèque » (S’il avait attendu un moment, …) et « non scalaire intrinsèque » (Si nous avions bougé, …) – et la quantification intervallaire (/Si j’étais partie/ un peu plus tard, cela n’arrivait pas). Si les locuteurs ressentent souvent, de manière significative, le besoin d’avoir recours à la quantification de la proximité factuelle, c’est que la proximité factuelle du procès potentiel ou contrefactuel exprimé par la protase (p) rend encore plus digne d’attention la réalisation (dans le cas du potentiel) ou la non-réalisation (dans le cas du contrefactuel) du procès dénoté par l’apodose (q), lequel est axiologiquement marqué (cf. von Wright 1963), ou, est axiologisé par la quantification opérée. Cette fonction des quantifieurs de proximité factuelle nous fait émettre l’hypothèse, reposant sur des données empiriques chiffrées, selon laquelle il y a une relation quantitative positive entre les quantifieurs de proximité factuelle dans la protase et l’emploi du présent potentiel, dans les « menaces conditionnelles de proximité » (cf. Koch & Oesterreicher 2011), et de l’imparfait contrefactuel « expressif » qui, tous les deux, mettent en valeur la nature axiologiquement marquée (typiquement négative) de l’apodose. Dans cette communication, nous avons apporté des précisions par rapport à Kronning (2017). Nous avons notamment montré que la quantification intervallaire n’est pas « cantonnées dans le seul domaine cognitif de la temporalité », mais qu’elle peut aussi s’inscrire dans celui de la spatialité (Il évita la lame de justesse. Un centimètre plus à gauche et il la prenait en plein ventre). Nous avons également montré que, contrairement à ce qu’affirment Berthonneau & Kleiber (2006 : 43), l’insertion d’un et est possible après les syntagmes nominaux du type une minute plus tôt ou un instant après suivis de l’imparfait contrefactuel « expressif » (Une minute plus tôt / un instant après et le train déraillait ‘aurait déraillé’), ce qui fournit un argument contre les analyses qui font de ces syntagmes nominaux des circonstants qui déterminent le prédicat verbal de l’apodose et non des protases nominales. Pour finir, nous nous sommes demandé si on peut définir les limites de la quantification de la proximité factuelle en essayant de repérer des quantifieurs de l’ « éloignement factuel » et de la « distance factuelle » (relation proportionnelle neutre).
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19.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • La théorie modale de la polyphonie et les constructions conditionnelles en si
  • 2014
  • Ingår i: Langages. - Paris : Armand Colin. - 0458-726X .- 1958-9549. ; 193:1, s. 17-31
  • Tidskriftsartikel (refereegranskat)abstract
    • In this paper predictive conditional constructions of the type Si P, Q are studied in the framework of the modal theory of polyphony (MTP). The main idea of this theory is that the constituent semantic contents of linguistic polyphony – the points of view – are divisible into a “shown” modus and a veridictional dictum.The MTP makes it possible to explain the variable acceptability of certain linkages to conditional constructions in dialogical exchanges. By the same token, it becomes possible to pinpoint certain rarely or never observed or theorized properties of predictive conditional constructions.
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20.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Lars Lindvall
  • 2020
  • Ingår i: Kungl. Vitterhets Historie och Antikvitets Akademien Årsbok 2020. - Stockholm : Kungl. Vitterhets Historie och Antikvitets Akademien. ; , s. 29-37
  • Bokkapitel (populärvet., debatt m.m.)
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21.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Le conditionnel épistémique : propriétés et fonctions discursives
  • 2012
  • Ingår i: Langue française. - Paris : Armand Colin. - 0023-8368 .- 1957-7982. ; :173, s. 83-97
  • Tidskriftsartikel (refereegranskat)abstract
    • In this article, the French epistemic conditional, which is analysed as a bicategorial epistemic marker denoting reportive evidentiality and zero modalisation (the refusal to epistemically endorse the mediated content of the utterance), is studied by considering its discourse properties and functions outside its mediation domain (the sequence conveying the mediated cognitive content), as well as outside and inside discourse frames opened by prepositional phrases of the type Selon N. It is shown that the speaker’s epistemic attitude is variable (dubitative and non-dubitative), whereas the modal orientation inherent in the epistemic conditional is invariably positive (toward ‘true’). It is further shown that this verb form is exploited rhetorically, textually and pragmatically to establish ascending gradations, to indicate the opening of certain textual units, and to conceal the speaker’s involvement in the mediated situation or in the description he or she gives of it.
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22.
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23.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Le conditionnel épistémique riportivo en italien
  • 2013
  • Ingår i: Arena Romanistica. - Bergen. - 1890-4580. ; 13, s. 210-235
  • Tidskriftsartikel (refereegranskat)abstract
    • Le conditionnel épistémique, dit « journalistique », du français suscite, depuis une vingtaine d’années, une véritable effervescence scientifique, alors que l’emploi correspondant du conditionnel italien (Vaticano sotto shock. Ci sarebbe un piano per uccidere il Papa) – dit condizionale riportivo – attire, semble-t-il, l’attention des linguistes à un degré bien moindre.C’est pourquoi nous étudierons dans cette contribution ce type de conditionnel épistémique en italien pour mettre à l’épreuve non seulement l’hypothèse selon laquelle les propriétés sémantiques et syntaxiques de cet emploi du conditionnel sont les mêmes que celles du français, mais aussi, et surtout, pour examiner, en ayant recours à différents types de corpus, s’il y a des différences quantitatives, diachroniques ou diaphasiques entre les deux langues en ce qui concerne le condizionale riportivo. Nous proposerons, entre autres, une nouvelle datation pour cet emploi du conditionnel en italien.
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24.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Le rôle des temps verbaux dans les constructions conditionnelles prédictives en si
  • 2014
  • Konferensbidrag (refereegranskat)abstract
    • Nombre d’études sur les constructions conditionnelles prédictives (« hypothétiques ») (Dancygier & Sweetser 2005) en si se donnent pour but d’expliquer l’emploi des temps verbaux dans ces constructions à partir de leurs significations aspectuo-temporelles invariantes (Bres 2005). Ce faisant, on se restreint souvent à n’étudier que les constructions canoniques (Declerck & Reed 2001) : (1) S’il l’épouse [I] /épousait [II] /avait épousée [III], il sera/serait/aurait été riche. Or, on sait, d’une part, que dans bien des langues, notamment de l’Asie orientale, les constructions conditionnelles sont dépourvues de morphologie aspectuo-temporelle (Akatsuka 1985), et, d’autre part, qu’il existe en français (au moins) 96 combinaisons modo-temporelles dans les propositions « conditionnelles » introduites par si (Banyś 2000), « ce qui porte à croire », à l’avis de Corminboeuf (2009 : 55), « que les contraintes temporelles sont plutôt lâches ». En excluant les non-prédictives (cf. Corminboeuf 2013), ainsi que les génériques et itératives, et les constructions conditionnelles rapportées en DI et DIL au passé (non systématiquement prises en compte par Banyś), on en arrive à une bonne vingtaine de constructions prédictives.À la lumière de ces observations et en vue de déterminer le rôle que jouent les temps verbaux dans les conditionnelles prédictives nous essaierons, dans cette communication, de défendre l’hypothèse selon laquelle ces constructions constituent un diasystème (cf. Kronning à par. b) qui englobe trois sous-systèmes irréductibles à un simple système unique :(a) le système zéro, où le temps ne contribue en aucune façon à l’expression de l’attitude épistémique du locuteur (« potentiel » vs « irréel ») ;(b) le système étendu qui comporte plusieurs sous-systèmes diaphasiques, dont le système canonique (1) (Kronning 2009ab, 2013b, à par. a), mais qui sont tous soumis à la même contrainte (C) relative à l’expression de l’attitude épistémique : les constructions noncales (Prés, Fut simple et périphrastique, Passé simple et composé) ne peuvent indiquer que l’attitude épistémique positive (AEP, « potentiel neutre »), alors que les constructions toncales (formes verbales en -/r/ait, Plqpf Subj) doivent exprimer l’attitude épistémique négative, faible (AEN-f, « potentiel faible ») et forte (AEN-F, « irréel ») ;(c) le système mixte, où protase et apodose relèvent chacune de (a) ou de (b).Du point de vue méthodologique, il est, à notre avis, préférable de ne s’atteler à la tâche de déterminer de quelle manière les formes verbales contribuent à l’expression de l’attitude épistémique qu’une fois établie la contrainte générale (C).En étudiant, dans le cadre de la « théorie modale de la polyphonie » (TMP) (Kronning 2013ab, à par. a), la manière dont les temps verbaux contribuent à cette indication de l’attitude épistémique, nous en arrivons à l’hypothèse que, tout en gardant leurs significations aspectuo-temporelles classiques, les temps verbaux portent, dans les constructions noncales, sur les procès (p et q), alors que, dans les constructions toncales (cf. Gosselin 1999, Caudal 2011, Ippolito 2013), ils portent, en revanche, sur le prédicat modal (Poss ou non-Poss) constitutif de l’attitude épistémique vis-à-vis de p et q.
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  • Kronning, Hans, Professor, 1953- (författare)
  • Les verbes modaux devoir et pouvoir
  • 2024
  • Ingår i: Encyclopédie Grammaticale du Français. - : Encyclopédie Grammaticale du Français. ; , s. 1-46
  • Bokkapitel (refereegranskat)abstract
    • Detta är ett kapitel om de franska modalverben devoir och pouvoir i den fria nätencyclopedien Encyclopédie Grammaticale du Français. Den ger en kritisk forskningsöversikt av dessa två modalverb.
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  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • L'imparfait contrefactuel dans les constructions conditionnelles prédictives en si en français
  • 2016
  • Konferensbidrag (refereegranskat)abstract
    • Parmi les nombreuses constructions conditionnelles prédictives (avec ou sans si) du français où l’imparfait reçoit ou peut recevoir une interprétation contrefactuelle (Impf Cf), linguistes et grammairiens focalisent leur attention, depuis Guillaume (1929), sur une construction particulière et somme toute marginale (1), qui, cette dernière décennie, a fait l’objet d’études approfondies (Berthonneau & Kleiber 2006, Bres 2006, Corminboeuf 2009), alors que l’emploi de l’Impf Cf dans les constructions conditionnelles prototypiques du type Si P, Q (2-7) sont peu ou pas du tout étudiées, si ce n’est dans les états révolus de la langue (Wagner 1939, Patard & De Mulder 2014) où la construction (1) n’est pas attestée : (1) SN, /et/ Impf Ind : Un instant de plus, et je te tuais (≈ t’aurais tué). (2) Si Impf Ind, Cond Simple : S’il était riche, il l’épouserait.(3) Si Impf Ind, Cond Composé : a. S’il était (≠ avait été) riche, il l’aurait épousé ; b. Si son adversaire ne lâchait (≈ n’avait lâché) prise, il l’aurait frappé.(4) ? Si Impf Ind, Impf Ind : Si tu avançais, je frappais .(5) Si Plqpf Ind, Impf Ind : Si j’avais craqué une allumette, la maison sautait.(6) Si Cond Composé, Impf Ind : Si ça aurait été le contraire, il emboutissait pareil.(7) Si Plqpf Subj, Impf Ind : Si nous n’eussions pas été là pour le secourir, toute la récolte périssait. C’est pourquoi nous nous proposons d’étudier l’interprétation contrefactuelle de l’imparfait dans les constructions (2-7) dans cette communication.On considère généralement que l’Impf Cf a une valeur expressive dans (1). C’est aussi le cas, semble-t-il, de l’Impf Cf dans (3b-7), mais non dans (2-3a). Nous essaierons d’élucider cette différence entre valeur expressive et non expressive, ce qui ne semble pas avoir été fait auparavant.Contrairement à ce qui est le cas pour l’italien (Mazzoleni 2015), où l’Impf Ind Cf fait l’objet de discours normatifs négatifs, l’emploi français correspondant est généralement considéré comme une ressource stylistique précieuse. Aussi l’Impf Cf « expressif » n’est-il pas marqué en français du point vue diaphasique, comme il ressort de la compatibilité de cet emploi tant avec des constructions conditionnelles par ailleurs d’un niveau de langue « formel » (7) ou « informel » (6) que d’un niveau « neutre » (5), aussi bien à l’écrit qu’à l’oral.Bien qu’elle soit fréquemment citée dans la littérature (Martinon 1927, Barcelò & Bres 2006, Dargnat & Jayez 2010), mais n’étant illustrée que par des exemples construits, la construction (4) est en effet très difficile à attester en français, à la différence de ce qui est le cas pour l’italien et l’espagnol. Il semble donc que Gougenheim (1938, 1954) ait raison en affirmant que la construction (5) est l’équivalent français de la construction italienne Se Impf Ind, Impf Ind, si ce n’est la structure parataxique Impf Ind /et/ Impf Ind.Nous proposerons une nouvelle analyse sémantique de l’Impf Cf dans le cadre de la Théorie Modale de la Polyphonie (TMP) (Kronning 2009ab, 2013ab, 2014ab) destinée à expliquer l’emploi expressif et non expressif de cette forme verbale dans toutes les constructions conditionnelles prédictives du français (avec ou sans si).L’idée fondamentale de la TMP est que la relation prédictive qui s’instaure entre les procès (p et q), exprimés par la protase (P) et l’apodose (Q), constitue un point de vue autonome, attribué au locuteur de l’énoncé (le « locuteur en tant que tel ») (l0), alors que les attitudes épistémiques (« potentiel », « potentiel faible », « contrefactuel ») vis-à-vis de p et de q sont inscrites sous forme d’opérateurs modaux dans des points de vue « attitudinaux », assignés à d’autres êtres de discours que l0.Traditionnellement, les opérateurs aspectuo-temporels sont censés porter sur les procès p et q dans les constructions conditionnelles toncales (morphèmes flexionnels en -/r/ait), dénommées subjunctive conditionals dans la littérature philosophique et sémantique anglo-saxonne. Ainsi, le verbe à l’Impf Cf expressif dénoterait « un procès avorté […] imaginé dans son déroulement effectif » (Wilmet 2007, §502).Or, aujourd’hui un certain nombre de linguistes (Gosselin 1999, Caudal 2011, Ippolito 2013) pensent que les temps verbaux des constructions toncales ne portent pas sur les procès p et/ou q, mais sur un « métaprédicat » (de possibilité, dans P) ou un opérateur modal (de nécessité, dans Q), car, s’ils portaient sur p ou q, les temps seraient trompeurs (angl. fake tense, fake aspect) : l’Impf Cf ne dénote pas nécessairement un procès passé sous un aspect imperfectif.Selon notre hypothèse, les temps verbaux gardent, dans les constructions toncales, leurs significations temporelles et aspectuelles « standard », mais portent sur deux opérateurs modaux de possibilité qui s’inscrivent dans les points de vue attitudinaux relatifs à la protase et à l’apodose respectivement. Ainsi, l’Impf Cf non expressif (2) est un passé imperfectif : ‘il était possible que p’. Cette possibilité a cours, ou n’a pas cours, au moment de l’évaluation (TE), concomitant à un moment de référence (TR) qui coïncide typiquement avec le moment de l’énonciation (E0). À TE, le locuteur constructeur du sens (LOC) détermine si le procès appartient au domaine du connu (ce qui donne lieu au sens contrefactuel) ou au domaine de l’inconnu (ce qui donne lieu au sens potentiel) de son état épistémique. Cet emploi de l’imparfait, où la possibilité de p est inhibée à TR, est en parfaite concordance avec la valeur aspectuo-temporelle de ce temps. Les formes composées, qu’il s’agisse du Plqpf Ind (5) ou Subj (7) ou du Cond Composé (3, 6), indiquent que la possibilité (‘il avait / aurait / eût été possible que p et/ou q’) a été annulée avant TR, typiquement simultané à E0. L’expressivité de l’Impf Cf a pour origine, c’est là le noyau de notre hypothèse, l’emploi de ce temps dans un contexte d’où il ressort que la possibilité de q (ou de p) a été annulée avant TR, emploi qui est en discordance avec la signification de l’imparfait.Les valeurs expressives (« vivacité », « immédiateté », « conséquence infaillible » etc.) attribuées à l’Impf Cf sont souvent trop spécifiques et plutôt tributaires de marqueurs contextuels que de l’imparfait. C’est pourquoi nous dirons que l’Impf Cf en emploi « expressif » est marqué du point de vue sémantique, nécessitant un plus grand effort de traitement cognitif que l’emploi « non expressif », qui est non marqué. Le statut marqué de l’Impf Cf « expressif » se traduit aussi par sa faible fréquence, ce que nous montrerons par des données quantitatives. L’effet produit par l’Impf Cf marqué est la mise en relief de P et/ou Q, ce qui explique que cet emploi de l’imparfait sert typiquement d’« évaluation » ou d’« issue » contrefactuelle à une séquence narrative.Dans cette communication, nous examinerons donc la signification d’un morphème flexionnel peu étudiée dans un certain type de constructions syntaxiques, en apportant de nouvelles données (base de données comportant plus de cent occurrences, données quantitatives) et une nouvelle hypothèse explicative.
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29.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • L'imparfait contrefactuel dans les constructions conditionnelles prédictives en si en français
  • 2016
  • Konferensbidrag (refereegranskat)abstract
    • L’emploi de l’imparfait contrefactuel « expressif » (ICE) en français a surtout été étudié dans une construction particulière (Un instant de plus, /et/ je te tuais [≈ aurais tué] (Berthonneau & Kleiber 2006, Bres 2006). En revanche, les six constructions conditionnelles en si où l’ICE est employé (dont Si j’avais été là, il me tuait) sont peu ou pas du tout étudiées.Nous proposerons une nouvelle analyse de l’ICE dans le cadre de la Théorie Modale de la Polyphonie (Kronning 2009ab, 2013ab, 2014ab) dans ces constructions.Selon cette théorie, la relation prédictive instaurée entre les procès (p et q) est attribuée au locuteur de l’énoncé l0, alors que les attitudes épistémiques (dont le « contrefactuel ») vis-à-vis de p et de q sont inscrites sous forme d’opérateurs modaux dans des points de vue assignés à d’autres êtres de discours que l0.Les temps verbaux des constructions conditionnelles « toncales » (morphèmes flexionnels en -/r/ait) portent, selon notre hypothèse (cf. Gosselin 1999, Caudal 2011, Ippolito 2013), sur les opérateurs modaux et gardent leurs significations aspectuo-temporelles « standard ».L’expressivité de l’IC a pour origine, selon notre hypothèse, son emploi dans un contexte d’où il ressort que la possibilité de q (et/ou de p) a été annulée avant un point de référence TR (« contrefactualité fermée »), emploi qui est en discordance avec la signification de l’imparfait comme temps du passé imperfectif, selon laquelle l’IC dénote une inhibition temporaire de p dans l’univers actuel (« contrefactualité non fermée »).Cette discordance entre ce qui est exprimélinguistiquement par l’ICE – la contrefactualité non fermée – et ce qui est inféré contextuellement – la contrefactualité fermée – exige un effort de traitement cognitif supplémentaire qui a pour effet la mise en relief (valeur expressive de l’IC) de q et/ou de p.
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  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • L’imparfait contrefactuel de « mise en relief expressive » dans les constructions conditionnelles en si : aspects variationnels et perspectives romanes
  • 2017
  • Konferensbidrag (refereegranskat)abstract
    • Il existe, en français, cinq constructions conditionnelles en si, peu étudiées, où l’emploi contrefactuel de l’imparfait de l’indicatif (Si j’avais craqué une allumette, la maison sautait ≈ ‘aurait sauté’) est marqué, et a, comme nous l’avons montré ailleurs (Kronning 2016ab), une fonction de « mise en relief » qui résulte de la sous-jacence, inférée contextuellement, de la « contrefactualité fermée » à la « contrefactualité non fermée » exprimée par l’imparfait. Cette fonction, que les grammairiens du XIXe et de la première moitié du XXe siècle ont qualifiée d’« expressive », explique que ces constructions servent typiquement d’« issue contrefactuelle » à une situation antécédente déjà saillante (Berthonneau & Kleiber 2006) ou d’« évaluation » d’un épisode (Bres 2006). Or, la mise en relief expressive ne s’assimile ni à la rhématisation ni à la focalisation ; ce qui est mise en relief n’est pas de nature prédicative ou informationnelle, mais de nature affective, émotionnelle, i. e. expressive au sens de Bally (1926). Plus précisément, l’émotivité mise en relief est typiquement associée à la valeur axiologique (von Wright 1963) – le plus souvent négative (la maison sautait) – de la proposition à l’imparfait contrefactuel.Dans cette communication, nous examinerons la variation diaphasique des cinq constructions renfermant cet emploi marqué de l’imparfait à la lumière des genres et séquences discursives (autrement dites « traditions discursives »), entendues comme des « types de pratiques socio-discursives » (cf. Adam 1999) qui s’inscrivent sur le continuum entre communication de « proximité » et de « distance » (Koch & Oesterreicher 2007, 2013, cf. Kabatek, à par.). Tout en discutant une éventuelle orientation diaphasique inhérente à cet emploi « expressif » de l’imparfait, nous montrerons que la variation diaphasique est largement tributaire des constructions. De façon générale, ces constructions ne sont pas, comme on le pense souvent (cf. Sandfeld 1965), réservées au discours conversationnel familier, représentant la « proximité communicative », mais figurent aussi dans le discours littéraire, historique et scientifique, relevant de la « distance communicative ».Dans une perspective comparative romane, nous montrerons qu’une des cinq constructions françaises (Si tu avançais, je frappais), amplement illustrées dans la littérature linguistique et grammaticale par des exemples fabriqués ou mal interprétés (Martinon 1927, Pedersen et al. 1980, Barcelò & Bres 2006) a un statut fort marginal en français, alors que les constructions correspondantes de l’italien (Se lo sapevo, te lo dicevo, Bertinetto 1986) et de l’espagnol (Se lo pedía, me lo daba, RAE 2009), considérées comme fréquentes dans la langue parlée, surtout substandard, sont presque exclusivement traitées du point de vue normatif. Nous plaiderons, exemples à l’appui, pour une étude approfondie de ces constructions et leurs variantes, afin d’examiner si elles ont, comme en français, des propriétés « expressives » de mise en relief et éventuellement un plus large empan diaphasique qu’on ne le dit.
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  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Modalité et évidentialité
  • 2012. - 2
  • Ingår i: Aspects de la Modalité. - Berlin : Walter de Gruyter. - 9783110963434 ; , s. 131-152
  • Bokkapitel (refereegranskat)
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  • Kronning, Hans, Professor, 1953- (författare)
  • Modalité, typologie et cognition : la construction devoir + INFINITIF comme périphrase future et évidentielle
  • 2023
  • Ingår i: Acta Linguistica Hafniensia. International Journal of Structural Linguistics. - : Routledge. - 0374-0463 .- 1949-0763.
  • Tidskriftsartikel (refereegranskat)abstract
    • To pay homage to the memory of Michael Herslund we will examine the hypothesis that the French modal verb devoir + Infinitive can be seen as an evidential future periphrasis from a typological perspective in uses such as La pluie doit s’abattre sur une bonne partie du pays (‘The rain will pour down on a good part of the country’). More specifically, we will scrutinize the cases where devoir is in the Present, the inflectional Future and the Conditional. On the basis of recent authentic material it will be contended that evidentiality in these cases is reportive.
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36.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Monstration, véridiction et polyphonie : Pour une théorie modale de la polyphonie
  • 2013
  • Ingår i: Dire / Montrer. - Chambéry : Éditions de l'Université de Savoie. - 9782919732128 ; , s. 93-115
  • Bokkapitel (refereegranskat)abstract
    • Hugues de Chanay dans l'Introduction, p. 17: "en examinant la structure élémentatire de l'énoncé en modus / dictum et en affectant le montrer au premier, le dire au second, contrairement à certaines thèses de Ducrot, en un geste théorique qui est un geste épistémologique tirant les conséquences logiques du traitement théorique des composants élémentaires du sens, Hans Konning éclaire la cohérence interne ainsi que l’applicabilité générale de la théorie modale de la polyphonie."
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  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Mot nya djärva mål i den jämförande romanska språkvetenskapen : Komparativ romanistik som disciplin och forskningsgemenskap - villkorskonstruktioner i franska, italienska och spanska
  • 2020
  • Ingår i: Romanistiken i Sverige. - Göteborg : Acta Universitatis Gothoburgensis. - 9789179630065 - 9789179630072 - 9789179630089 - 9789179630096 ; , s. 113-144
  • Bokkapitel (refereegranskat)abstract
    • Efter att begreppet ’romanist’ analyserats diskuteras här den komparativa romanistikens ställning som disciplin och forskningsgemenskap i Sverige och internationellt. Slutsatsen är att den jämförande romanska språkvetenskapen har en mycket svag ställning i Sverige i dessa avseenden (§1). Detta till trots bedrivs komparativ romanistik i Sverige, om än i ringa omfattning. Som exempel presenteras därför här ett komparativt forskningsprojekt som behandlar villkorskonstruktioner i franska, italienska och spanska. Den traditionella komparativa lingvistiken är främst historiskt inriktad. Det här framlagda projektet illustrerar däremot en nyare typ av jämförande romansk språkforskning, som studerar ett hittills starkt underbeforskat kunskapsfält: syntaktiska konstruktioner och deras semantik och pragmatik i de moderna språken. Redogörelsen för projektet, som är relativt omfattande för att tydliggöra vad ett dylikt projekt kan innebära idag, vänder sig snarast till den lingvistiskt inriktade forskaren (§2). Avslutningsvis diskuteras den jämförande romanska språkvetenskapens position mellan den allmänna lingvistiken (enkannerligen språktypologin) och särspråksromanistiken, och vilket den komparativa romanistikens unika bidrag till språkforskningen kan vara i detta perspektiv (§3).
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38.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Polyphonie, constructions conditionnelles et discours rapporté
  • 2009
  • Ingår i: Langue française. - Paris : Larousse. - 0023-8368 .- 1957-7982. ; :164, s. 97-111
  • Tidskriftsartikel (refereegranskat)abstract
    • The theories of “possible worlds” and of “mental spaces” eclipse, or tend to eclipse, the subject whilst focusing on the representational aspects of the “worlds” and the “spaces”. By contrast, the analysis presented in this paper of predictive content conditionals (Si P, Q) places the subject at the center of the theory and thus enables linking different aspects of the semantics and the interpretation of these constructions, so as to account for the intrinsically polyphonic nature of language. The locutor (LOC), a discourse entity distinct from the speaker as the empirical producer of the utterance, constructs images, coded by these constructions, of himself as utterance locutor (l0) asserting the hypothetical relation which holds between the protasis (p) and the apodosis (q) and as discourse locutor (L) showing his epistemic attitude (“positive” vs. “negative”) towards p and q. The coding of this attitude is underdetermined in several cases, notably when the conditionals are reported in (Free) Indirect Speech in the past, but can be specified by resorting to the epistemic state (“ignorance” vs. “knowledge” of the truth of p and q) of LOC. The epistemic state is inferable from the context and/or the speech situation as well as from the illocutionary act (“threat”, “promise”, “wish”, “regret” etc.) accomplished by uttering the conditional.
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39.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Pour une linguistique contrastive variationnelle : le conditionnel épistémique d'"emprunt" en français, en italien et en espagnol
  • 2014. - 1
  • Ingår i: Affaire(s) de grammaire. - Oslo : Novus Forlag. - 9788270997534 ; , s. 67-90
  • Bokkapitel (refereegranskat)abstract
    • This article aims at being a plea for variational contrastive linguistics. That is why we study the Reportive Conditional (RC) in French (Kadhafi seraitRC malade ‘Gaddafi is reportedly sick’), Italian (Gheddafi sarebbeRC malato) and Spanish (Kadafi estaríaRC enfermo), analysing intralinguistic variation from a comparative interlinguistic perspective and using both unidirectional translation corpora and comparable corpora. The RC seems to be semantically and syntactically fairly equivalent in these languages, whereas peninsular Spanish differs considerably from French, Italian and Latin American Spanish from a diaphasic point of view, which as a result gives rise to a diatopic variation in Spanish. The diaphasic properties of the RC in peninsular Spanish are partly determined by a depreciative, purist and sometimes deontological normative discourse. This purist discourse is sustained by supposed diachronic differences between Spanish and French. Clearly, diaphasic, diatopic and diachronic aspects of variation are interdependent in the case of the Spanish RC.
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40.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Pour une théorie modale de la polyphonie
  • 2014
  • Ingår i: Arena Romanistica. - Bergen. - 1890-4580. ; 14, s. 124-139
  • Tidskriftsartikel (refereegranskat)abstract
    • In this paper we give a brief survey of the modal theory of polyphony (MTP). As this theory falls within the general framework of Scandinavian polyphony theory, it is directly inspired by the works of Ducrot and Anscombre. However, the MTP differs in some respects from their theory. The main idea of the MTP, according to which the constituent semantic contents of linguistic polyphony – the points of view– are divisible into a “shown” modus and a veridictional dictum, has some undeniable heuristic virtues, but seems incompatible with the epistemological choices of non modal, argumentative and “anti-referentialist” theories of polyphony (Anscombre, Carel, Ducrot, Lescano). The MTP also differs in some important respects from (partly) referentialist theories of polyphony such as ScaPoLine-theory and praxematic dialogism.
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41.
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42.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Quantifiers of Factual Proximity and Counterfactuality in Romance: Un paso más y me mataba/me habría matado
  • 2021
  • Konferensbidrag (refereegranskat)abstract
    • Quantifiers of Factual Proximity (QPF) are a particular kind of conditional subconstructions in Romance languages (Sp. un paso más, Cat. un pas més, Pt. um passo mais, It. un passo di più, Fr. un pas de plus ‘one more step’) which function as (part of) counterfactual protases and have a propensity for combining with apodoses denoting axiologically marked eventualities. In this invited conference presentation the conceptualization of these quantifiers will be clarified and elaborated for Romance languages with special emphasis on Spanish. Unlike what is the case in our previous study (Kronning 2017) on this subconstruction in French, the theoretical framework will more explicitly and more consistently be Construction Grammar, more specifically Cognitive Grammar (Langacker 1987, 2008).
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43.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Quantifiers of factual proximity and counterfactuality in Spanish and other Romance languages : Un paso más y me mataba/habría matado
  • 2023
  • Ingår i: Verb and Context. The impact of shared knowledge on TAME categories. - Amsterdam : John Benjamins Publishing Company. - 9789027212764 - 9789027254993 ; , s. 149-170
  • Bokkapitel (refereegranskat)abstract
    • Quantifiers of Factual Proximity (QFPs) are subconstructions (e.g. Spanish un paso más and French un pas de plus) of conditional constructions, as in Un paso más y me mataba/habría matado (‘One more step, and he would have killed me’). Indicating the proximity of realization of hypothetical eventualities or instants in the protasis, they have a propensity for co-occurring with axiologically marked eventualities (matar ‘kill’) in the apodosis, irrespective of its TAM-morphology (mataba, Imperfect Indicative ‘killed’, habría matado, Compound Conditional ‘would have killed’). Here we elaborate the conceptualization of QFPs for counterfactual conditionals in Romance languages with special emphasis on Spanish. The theoretical framework is Construction Grammar, more specifically Cognitive Grammar (Langacker 1987, 2008).
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44.
  • Kronning, Hans, Professor, 1953- (författare)
  • Quantifieurs de proximité factuelle: Un instant après le train déraillait / aurait déraillé : [Quantifiers of factual proximity and praxematics: A moment later the train would have derailed]
  • 2023
  • Ingår i: Cahiers de praxématique. - : OpenEdition. - 0765-4944 .- 2111-5044. ; :79
  • Tidskriftsartikel (refereegranskat)abstract
    • In this article, we will briefly discuss Quantifiers of Factual Proximity (QFPs). Praxematics, with the multiple avenues of linguistic knowledge that it offers us, including that of the Cahiers de praxematique, inspired us to define and study these quantifiers. The QPFs (un pas de plus ‘one more step’, un instant après ‘a moment later’) are part of conditional constructions (Un pas de plus et il me tuait / m’aurait tué. ‘One more step and he would have killed me’ ; Un instant après et le train déraillait / aurait déraillé. ‘A moment later the train would have derailed’), both in counterfactual constructions and in potential constructions (Un pas de plus et je te tue. ‘One more step and I’ll kill you’). The most salient property of these quantifiers is that the apodosis of these constructions is axiologically marked (‘kill’, ‘derail’).
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45.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Sémantique et variation diasystématique : temps verbaux et constructions conditionnelles prédictives en si
  • 2014
  • Konferensbidrag (refereegranskat)abstract
    • Bien des études sur les constructions conditionnelles prédictives (« hypothétiques ») en si se donnent pour but d’expliquer l’emploi des temps verbaux dans ces constructions à partir de leurs significations aspectuo-temporelles invariantes, tout en se restreignant souvent aux constructions canoniques : S’il l’épouse/épousait/avait épousée, il sera/serait/aurait été riche.Or, dans bien des langues de l’Asie orientale, les conditionnelles sont dépourvues de morphologie aspectuo-temporelle. D’autre part, il existe en français (au moins) 96 combinaisons modo-temporelles dans les conditionnelles en si (Banyś 2000), « ce qui porte à croire que les contraintes temporelles sont plutôt lâches » (Corminboeuf 2009).En vue de déterminer le rôle que jouent les temps verbaux dans les prédictives nous défendrons l’hypothèse selon laquelle ces constructions constituent un diasystème qui englobe trois sous-systèmes irréductibles à un simple système unique :(a) le système zéro, où le temps ne contribue pas à l’expression de l’attitude épistémique du locuteur (« potentiel » vs « irréel ») ;(b) le système étendu qui comporte plusieurs sous-systèmes diaphasiques, tous soumis à la même contrainte (C) relative à l’expression de l’attitude épistémique : les constructions noncales (Prés, Fut simple et périphrastique, Passé simple et composé) n’indiquent que l’attitude épistémique positive (AEP, « potentiel neutre »), alors que les constructions toncales (formes verbales en -/r/ait, Plqpf Subj) expriment l’attitude épistémique négative, faible (AEN-f, « potentiel faible ») ou forte (AEN-F, « irréel ») ;(c) le système mixte, où protase et apodose relèvent de (a) ou de (b) respectivement.Dans le cadre de la théorie modale de la polyphonie (TMP) (Kronning 2009ab, 2013ab, à par. a), nous émettrons, en ce concerne (b), l’hypothèse que, tout en gardant leurs significations aspectuo-temporelles invariantes, les temps verbaux portent, dans les constructions noncales, sur les procès (p et q), alors que, dans les constructions toncales, ils portent, en revanche, sur le prédicat modal (Poss ou non-Poss) constitutif de l’attitude épistémique vis-à-vis de p et q.
  •  
46.
  • Kronning, Hans, 1953- (författare)
  • Språkvetenskapligt credo
  • 2022
  • Ingår i: Kungl. Humanistiska Vetenskaps-Samfundet i Uppsala. - Uppsala : Kungl. Humanistiska Vetenskaps-Samfundet i Uppsala. - 9789198240580 ; , s. 59-100
  • Bokkapitel (övrigt vetenskapligt/konstnärligt)
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47.
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48.
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49.
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50.
  • Wall, Kerstin, et al. (författare)
  • Bonniers franska grammatik II
  • 2008. - 1
  • Bok (övrigt vetenskapligt/konstnärligt)abstract
    • Bonners franska grammatik II är avsedd för universitet och vuxenutbildning. Den ger en fördjupad framställning av centrala områden inom fransk grammatik. Som inledning finns en översikt över språkets uppbyggnad och språkvetenskapliga begrepp. Genomgående används och förklaras både svensk och fransk terminologi.
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