| 1. |
- Garbis, Christer, et al.
(författare)
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Team Coordination and communication in a rescue command staff : the role of public representations
- 1999
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Ingår i: Travail humain (Paris). - : Presses Universitaires de France. - 0041-1868 .- 2104-3663. ; 62:3, s. 273-291
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Tidskriftsartikel (övrigt vetenskapligt/konstnärligt)abstract
- Dans ce document, nous présentons une étude réalisée sur une session deformation d'un personnel d'encadrement au commandement, dispensée dans un centre national suédois deformation au sauvetage. Compte tenu de la nature du probléme, l'unite à étudier comprend à la fois Us participants et les artefacts utilisés. Pour cette raison, nous choisissons comme objectif theorique sous-jacent la structure de cognition distributé. Selon cette structure, les personnes de même que les différents artéfacts cognitifs qu'elles utilisent, constituent un systéme cognitif. Au sein de ce systéme, les informations sont transmises aussi bien entre les personnes qu'entre les artefacts et les personnes. Ici, nous nous concentrons sur l'utilisation des artéfacts cognitifs publics. Notre méthode est, pour une part, ethnographique (quant au type d'analyse de la situation de formation), et, pour une outre part, fondée sur Vanalyse du discours (à partir d'enregistrements au caméscope). Nous présentons deux événements survenus durant une session deformation, retenus à cause du rôle de deux artéfacts publics différents dans des activites de briefing. Dans une telle activité, une personne résume la situation actuelle devant le responsable de secours. Le probléme abordé dans notre étude renvoie à la création conjointe d'un modéle de situation. Notre intérêt pone sur la maniére dont les modéles individuals de situation ont été diffusés et négociés parmi les membres du service de secours au moyen de communications a propos et par l'intermédiaire des artéfacts cognitifs. Les analyses font apparaître que tous(les participants, etpas seulement ceux directement impliqués dans le briefing, ont utilisé les artéfacts cognitifs publics pour actualiser leurs propres modéles de situation, de même que pour négocier un modéle partagé de situation. Dans le premier cas, l'artéfact consiste en une liste d'evénements géreé et actualisée manuellement par une personne. II a été constaté que la communication à propos de cette liste, non seulement a servi de rappel individuel et de contrôle individuel pour la personne qui informe et pour le responsable de secours, mais qu 'elle a également servi à la distribution de ces informations aupres d'autres participants et à leur actualisation d'autres artéfacts. Dans le second cas, la tâche a consisté à trouver un emplacement géographique. Il a été constaté que la faiblesse des artéfacts (cartes) a conduit à une discussion compliquee au sujet d'un modéle partagé de situation. En conclusion, un artéfact cognitif public ne peut pas en soi être considéré comme source d'informations. Au contraire, I'utilisation d'un artéfact public est intégrée à la communication entre les membres de l'équipe et cette intégration semble constituer un élément déterminant dans le développement d'un moéle partagé de situation
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| 2. |
- Waern, Yvonne, et al.
(författare)
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Co-ordination for distributed cognition in control rooms
- 1999
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Ingår i: Proceedings of the European Conference on Cognitve Science - ECCS '99. ; , s. 31-36
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Konferensbidrag (refereegranskat)abstract
- This paper deals with how control rooms are organised and how practices are implemented in order to manage a dynamic environment or an anomaly within a scheduled dynamic environment. Specifically, we will here consider how people co-ordinate their perceptions of a dynamic situation in order to manage it efficiently. We draw conclusions from three field studies conducted in the domains of emergency and rescue management as well as underground-line control. We consider the control room as the main cognitive unit, within which the cognitive powers are distributed. We specifically discuss a model to explicate the propagation and transformations of information within the control rooms. In particular, we propose that during a mission, a transition from an individual to a shared understanding of the situation takes place, within a shared understanding of co-ordination.
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