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Träfflista för sökning "WFRF:(Romeborn Andreas 1981) srt2:(2015-2019)"

Sökning: WFRF:(Romeborn Andreas 1981) > (2015-2019)

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NumreringReferensOmslagsbildHitta
1.
  • Romeborn, Andreas, 1981 (författare)
  • Franskans "etymologiska" stavning i språkdiskussioner på nätet
  • 2017
  • Ingår i: Språk och norm. Rapport från ASLA:s symposium, Uppsala universitet 21-22 april 2016 (ASLA:s skriftserie nr 26). Red. S. Bendegard, U. Melander Marttala & M. Westman. - Uppsala : ASLA: Svenska föreningen för tillämpad språkvetenskap. - 1100-5629. - 9789187884269
  • Konferensbidrag (refereegranskat)
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2.
  • Romeborn, Andreas, 1981 (författare)
  • La figure étymologique : quelques caractéristiques
  • 2017
  • Ingår i: XX Congrès des romanistes scandinaves, 15-18 augusti 2017, Universitetet i Bergen. Communication lors du XX Congrès des romanistes scandinaves, 15-18 août 2017, Université de Bergen..
  • Konferensbidrag (övrigt vetenskapligt/konstnärligt)abstract
    • Cette communication traite de la « figure étymologique ». À partir d’exemples variés, nous décrirons quelques types de réalisations possibles de cette figure polymorphe en nous intéressant surtout à ses caractéristiques sémantiques. Comme en témoignent les différentes définitions qui en ont été proposées, cette figure peut prendre des formes diverses. Ainsi, elle peut être conçue comme la « [r]éunion dans une construction syntaxique de type exceptionnel, de mots apparentés par l’étymologie […] » (TLFi), comme dans « vivre sa vie ». Aslanov (2001) montre que ce type de rapprochement étymologique peut se faire de manière « camouflée », et cite un exemple de Claudel qui rapproche les mots « idée » et « idole », apparentés par le fait que leurs étymons grecques (« idea » et « eidôlon ») ont la même racine indo-européenne « *weid- » ‘voir’ : « Seigneur, vous m’avez délivré des livres et des Idées, des Idoles et de leurs prêtres ». Or, la figure peut aussi se définir comme l’« emploi du mot selon le sens de son étymon » (Aquien 1999). À titre d’exemple, Mallarmé, parlant de « l’hiver lucide », utilise, selon l’analyse de Pougeoise (2006), le mot « lucide » au sens du latin « lucidus » ‘clair, lumineux’. La figure étymologique concerne, dans ce cas, une occurrence de mot (« lucide ») et non deux, à la différence du vers de Claudel (« idées » – « idoles »). Si l’allusion à l’étymologie est perçue par le récepteur – et que la réception figurale ne reste pas « inactivée » (cf. Bonhomme 2005) – la figure étymologique peut se manifester comme un cas particulier de « plurisémie » (Némo 2014, Rabatel 2015), où le sens étymologique vient s’ajouter au sens actuel d’un mot. Mais nous verrons que l’emploi de ce procédé ne produit pas forcément une superposition de sens. Il peut aussi correspondre à d’autres phénomènes sémantiques, comme l’usage « flou » ou « approximatif » (cf. Fuchs 2009) ou encore l’emploi « monosémique » d’une unité.
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3.
  • Romeborn, Andreas, 1981 (författare)
  • La syllepse. Aspects généraux et usage dans l’œuvre de Francis Ponge
  • 2018
  • Bok (övrigt vetenskapligt/konstnärligt)abstract
    • Cette étude, novatrice à la fois théoriquement et empiriquement, porte sur la syllepse « oratoire », figure de rhétorique pouvant se définir comme l’emploi d’une occurrence d’un mot dans deux sens différents : « L’ardoise – à y bien réfléchir c’est-à-dire peu, car elle a une gamme de reflets très réduite […] » (Francis Ponge). Sur le plan théorique, cet ouvrage propose : une discussion éclairante des rapports de la syllepse avec les phénomènes de polysémie, d’homonymie et d’ambiguïté ; une mise au point sur les relations qu’elle entretient avec certains procédés apparentés tels l’antanaclase, le zeugme, la métaphore et le calembour ; une méthode d’analyse permettant la mise en lumière du fonctionnement contextuel de cette figure et de ses modalités de repérage. Sur le plan empirique, l’étude présente une analyse détaillée de l’usage de la syllepse dans un corpus de poèmes de Francis Ponge. Par sa description des aspects grammaticaux, sémantico-lexicaux et fonctionnels de la syllepse « pongienne », elle constitue un examen minutieux d’un élément marquant de l’écriture de Ponge. Cet ouvrage s’adresse aussi bien aux lecteurs s’intéressant aux figures de rhétorique, aux analyses linguistiques de la poésie qu’à l’œuvre de Francis Ponge.
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4.
  • Romeborn, Andreas, 1981 (författare)
  • Pratiques étymologiques chez Francis Ponge
  • 2016
  • Ingår i: Étymologies populaires, savantes et pseudo-savantes, 10-11 mars 2016, Université de Strasbourg. Communication lors du colloque Étymologies populaires, savantes et pseudo-savantes, 10-11 mars 2016, Université de Strasbourg. 11/3 2016.
  • Konferensbidrag (övrigt vetenskapligt/konstnärligt)abstract
    • Francis Ponge, dans ses « Fragments métatechniques » (1922), pose cette question rhétorique au sujet de l’étymologie : « Quelle science est plus nécessaire au poète ? ». L’intérêt de Ponge pour l’histoire des mots se manifeste de diverses manières. Comme nous l’avons étudié précédemment (Romeborn 2013), la syllepse, c’est-à-dire l’emploi d’une occurrence de mot dans deux sens différents, est une figure très présente dans son œuvre ; or, dans certains poèmes, Ponge emploie un type particulier de syllepse qu’on peut qualifier, à la suite de Wahl (2010), de syllepse « étymologique » et qui consiste à employer un mot à la fois dans un sens actuel et dans un sens étymologique. C’est ainsi qu’il est possible de considérer que le verbe « proposer », dans le poème « La Cheminée d’usine » (Ponge 1961), est employé simultanément dans un sens actuel (‘soumettre à la réflexion’, comme dans un énoncé du type « Il propose une solution ») et dans le sens concret de son étymon latin « proponere » : ‘poser devant/placer devant les yeux’ (Romeborn 2013 : 102-104). Mais le recours à l’étymologie ne se fait pas seulement chez Ponge par le biais de syllepses, il prend également d’autres formes, telle l’insertion, dans les textes, de précisions sur la filiation des mots. Les étymologies de Ponge peuvent aussi être « fantaisistes » (Genette 1976) et elles correspondent alors à certaines des procédures caractéristiques de l’étymologie populaire décrites par Béguelin (2002). Nous nous proposons, dans cette communication, de décrire les divers procédés mis en œuvre par Ponge dans son usage de l’étymologie, en essayant également de préciser la conception du langage qui semble sous-tendre cette pratique. Il sera en effet intéressant de noter que Ponge semble adhérer, à sa façon, au mythe d’une langue « originelle » dénoncé par Jean Paulhan (1953).
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5.
  • Romeborn, Andreas, 1981 (författare)
  • "Rör inte min cirkumflex". En analys av några tweets av franska politiker
  • 2017
  • Ingår i: Språkens magi. En festskrift för Ingmar Söhrman, professor i romanska språk. Red. A. Castro, A. Granvik, E. Fernandez Incognito, S. Lindbladh, A. Romeborn, K. Vajta. - Göteborg : Göteborgs universitet. - 9789163953613 ; , s. 193-205
  • Bokkapitel (övrigt vetenskapligt/konstnärligt)
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6.
  • Romeborn, Andreas, 1981 (författare)
  • Saillance, quantité et position. Les syllepses à la fin des poèmes de Francis Ponge
  • 2016
  • Ingår i: Moderna Språk. - 0026-8577. ; 110:1, s. 101-121
  • Tidskriftsartikel (refereegranskat)abstract
    • La syllepse, pouvant être définie comme l’emploi d’une occurrence de mot dans deux sens différents, est une des figures de prédilection de Francis Ponge. Cet article examine les syllepses employées à la fin des poèmes de Ponge et s’intéresse à cette figure du point de vue de sa réception. À l’aide d’une analyse quantitative d’un corpus composé de 90 poèmes de Ponge, nous avons voulu tester l’hypothèse selon laquelle la fréquence de syllepses serait particulièrement élevée dans la partie finale de ses poèmes. Les résultats, inattendus, tendent à infirmer cette hypothèse, car il s’est avéré que la fin des textes étudiés ne se distingue pas par une fréquence de syllepses spécialement élevée. Ainsi, la fréquence ne se présente pas, ici, comme un facteur décisif permettant de comprendre le caractère saillant des syllepses apparaissant à la fin des textes, c’est-à-dire d’expliquer le fait que celles-ci sont susceptibles d’attirer beaucoup l’attention lorsqu’elles sont employées à cet endroit. En revanche, les résultats indiquent, indirectement, l’importance des facteurs positionnels pour la perception de cette figure : il se peut en effet qu’une syllepse soit perçue comme saillante du fait même de son positionnement, par exemple en raison de sa position à la fin du texte.
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7.
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